Les réseaux sociaux
Un outils qui réunit beaucoup d’informations personnelles.
A- Un accès facile aux informations personnelles.

Maintenant avec la multitude de réseaux sociaux, la plupart des personnes ayant accès a internet sont inscrites sur ces réseaux, ou du moins leur nom ou des photos d’eux apparaissent sur internet, Une grande partie des utilisateurs sont des adolescents, en effet 92% des 12 à 17 ans ont un compte Facebook et 26%
d’entre eux un compte Twitter, Les adolescents ont
tendances à moins utiliser Twitter que les adultes.
Les jeunes sont souvent inconscients des risques et
dangers d’internet, et plus particulièrement des réseaux
sociaux, car ils y mettent sans réfléchir beaucoup de
données personnelles, selon Facebook cela est appelé le
"partage", ce site incite même à mettre le plus de
renseignements possible, il nous propose tout types
d’informations : numéro de téléphone, adresses, ce que
l’on aime, etc.
Mais le partage le plus populaire quelque soit le réseau social, c’est celui des photos, peu importe le réseau social il y a la possibilité de partagé des photos, certain même ce sont spécialisés dans ce domaines comme Tumblr, Instagram, ou encore Snapchat. Des photos, 350 millions sont publiées sur Facebook chaque jours, soit un peu plus de 2200 photos par seconde. 75,8 millions de photos publiées sur Tumblr chaque jour, et 70 millions pour Instagram. Les jeunes ne sont pas les seules a prendre des photos, mais ils ont plus tendances à prendre de tout et n’importe quoi, pour pouvoir le montré aux amis, ou à ses fans...
Avec les nouvelles technologie il est de plus en plus facile et rapide de faire de belle photos certains jeunes prennent d’abord une photo d’un accident, ou d’une personne en détresse, ou d’autre situation du genre avant d’aller aider les personnes en détresses, un exemple vient de New York où un homme est photographié sur les rails du métro, et on voit le métro qui lui arrive dessus, cette histoire a été publié comme première page d’un journal New-yorkais.
Sur Facebook nous pouvons mettre de nombreuses informations personnelles, mais certaines paraissent plus privées que d’autres comme le numéro de téléphone :
- La plupart des jeunes indiquent leur sexe (89%) et leur nom (85%), postent des photos ou des vidéos les représentant (82 %) et mentionnent leur âge (77%).
- Près de la moitié d’entre eux décrivent leurs loisirs (50%) et postent des photos ou des vidéos de leurs amis ou de leur famille (45%).
- 42% révèlent leur adresse électronique, 38% leur établissement scolaire, 24% leur domicile, 9% leur numéro de messagerie instantanée et 4% leur numéro de téléphone.
- Dans l’ensemble, plus les jeunes grandissent, plus ils fournissent d’informations personnelles.
Certain réseaux sociaux, dont Facebook, ont beaucoup été critiquer car une affaire
Une fois une photo mise en ligne, il est presque impossible de la faire totalement disparaître d’internet, c’est pour cela qu’il est souvent conseiller de ne pas mettre de photo humiliante de sois ou même de quelqu’un d’autre, car la photo y restera et cela pourrait avoir de mauvaises conséquences un jour ou l’autre. Au fil du temps, les jeunes acquiert de plus en plus d’expérience des réseaux sociaux, de plus des associations de prévention ont été mis en place dans les collèges et lycées, des préventions contre les risques d’internets, des choses a respecter, etc.
Les utilisateurs ne cherchent pas à se défendre uniquement de leur photos perdues, il y a d’autre informations personnelles que certains aimeraient supprimé d’internet. Heureusement il existe des lois pour cela.
Le droit à l'oubli existe déjà dans la loi Informatique et libertés de 1978. Tout responsable de traitement (par exemple un commerçant en ligne) est tenu de définir une durée de conservation des données personnelles qu'il détient, durée à l'issue de laquelle l'information est détruite. Toute personne dispose également du droit de demander que les données personnelles qui la concernent soient effacées d'un fichier. Les moteurs de recherche ne sont pas obligés de répondre favorablement aux demandes d'effacement des résultats qui s'affichent sur leurs pages. Les autorités de protection des données en Europe considèrent pour le moment qu'ils ne sont pas les principaux responsables des contenus qu'ils référencent. Les internautes doivent donc s'adresser à chaque site ayant enregistré le contenu litigieux.
Il y a tout de même une limite, Le droit à l’oubli ne veut pas dire droit a l’anonymat, car les données sont obligatoirement conservé un an au minimum, pour éventuellement permettre des procédures judiciaires.
B - Une utilisation des données personnelles par des individus mal intentionnés.
L'important sur ces plate-formes pour les personnes inscrites, c'est d'avoir une bonne réputation virtuelle. C'est-à-dire que certaines se feront passer pour ce qu'elles ne sont pas, ou au contraire d'autres feront que leur profil leur ressemble au maximum.
Pour cela certaines personnes publient des photos d’eux plutôt "osées", par exemple des filles en maillot de bains. Mais ces photos peuvent avoir de lourdes conséquence. Facebook a des côtés positifs et ludiques mais ce réseau social est malheureusement aussi risqué car le grand danger reste la pédophilie. Les adolescents les plus vulnérables sont une proie aisée pour les pédophiles et les délinquants sexuels. Quant aux statistiques du ministère de la justice en France, elles montrent qu’une quinzaine d’enfant par an sont victimes de violence sexuelle de la part d’un pédophile après l’avoir rencontré sur Internet.
Certains utilisent l’identité de quelqu’un d’autre pour insulter leurs amis, publier des photos humiliante d'eux et un simple conflit peut prendre des proportions inimaginables. Facebook est le paradis des voleurs d’identité. Il s’agit souvent de détournement de photos ou de vol d’identité.
Les réseaux sociaux utilisent dans nôtre dos nos informations personnelles pour les échangés contre de l’argent. En effet, un scandale a éclaté, lorsque nous, utilisateurs avons appris que les grands réseaux sociaux, utilisent a nôtre insu nos données personnelles, par exemple dès qu’on indique que l’on aime une page Facebook, peu importe le sujet cette information sera revendu a une entreprise qui sera intéressé par vos goûts. Prenons unexemple, si j’aime une page d’une marque de chaussure, quelques jours plus tard je verrais des pubs s’afficher me proposant d’acheter des chaussures, Facebook aura vendu l’information que "j’aime" les chaussures à une entreprise dedans, et donc elle me proposera c’est pubs pas uniquement sur Facebook, mais aussi sur la page de recherches Google, et toutes sortes de sites.

Il y beaucoup de personnes intéressés par nos informations personnelles.
Une tendance de plus en plus a la mode c’est le fait de "googler" quelqu’un, cela consiste à taper le nom d’une personne dans un moteur de recherches afin d’avoir des informations sur cette personne, photos, age, etc. Cela peut être dans un but non malsain, par exemple avant de rencontrer quelqu’un pour la première fois. Mais cela peut être surtout utilisé à de mauvaise fin.
Une sorte de scandale à mis en colère beaucoup de monde, c’est la surveillance des employés, en effet trois entreprise sur cinq surveille l'activité de leurs employés sur Facebook, YouTube, Twitter et autres réseaux sociaux. Principale raison invoquée : la sécurité. Il s'agit ainsi d'empêcher des fuites d'informations sensibles. Le marketing, et la gestion de la réputation de la marque, sont aussi cités.
Les entreprises sont de plus en plus nombreuses à pratiqué cette surveillance, alors qu’il n’en n’ont pas totalement le droit, L'entreprise ne peut pas procéder à une collecte systématique sur les pages personnelles de ses salariés, et la surveillance des réseaux sociaux par l'entreprise peut constituer une atteinte au droit au respect de la vie privée. Pour mieux comprendre voici un exemple :
Deux salariés de la société Alten ont été récemment licenciés pour des propos tenus sur Facebook, en décembre 2008, et rapportés à l'employeur par un tiers "ami" des deux salariés. Dans cette affaire, actuellement traitée par le conseil de prud'hommes de Boulogne-Billancourt, les deux salariés se sont connectés depuis leur domicile, en dehors de leurs heures de travail, et procédaient à des commentaires considérés comme désobligeants par leur hiérarchie. Cette dénonciation a abouti à leur licenciement pour "incitation à la rébellion" et "dénigrement de l'entreprise".
L’affaire s’est produite en 2008, ce qui montre que cette pratique utilisée par les entreprises n’est pas récente, elle étais déjà utilisé aux début des réseaux sociaux.
Les employeurs peuvent aussi utilisées les informations personnelles afin de recruter du personnelles, et pour revenir a ce que l’ont à vu auparavant, une personne qui aura précédemment postées des photos, jugées "inacceptable" par l’employeur, pourra ne pas être retenu pour le poste.